Les principales taches d’un artisan couvreur

Le couvreur est l’artisan spécialisé en toiture et des travaux de construction annexes à celle-ci. Il est le mieux placé pour réparer et installer une toiture d’un bâtit, principalement, un artisan couvreur s’occupe des couvertures de maisons résidentielles ou individuelles. Ce savoir-faire nécessite de l’expertise et de la connaissance des divers matériaux. En outre, vous pouvez lui confier les démarches administratives et autres paperasses nécessaires pour avoir une toiture conforme aux normes régionales et nationales de sa clientèle.

Les étapes générales d’un travail de toit

De manière générale, l’artisan couvreur tel que celui dans le 59 procède toujours par une inspection de toiture. Installation, réparation ou remplacement de toit, c’est après avoir établi ce diagnostic qu’il peut déterminer la meilleure façon d’entreprendre les travaux. Dans cette étape, il mesure la structure et le toit lui-même pour calculer les quantités de matériaux nécessaires pour la nouvelle couverture de maison. En cas de nécessité, il remplace les solives ou le contreplaqué endommagé ou pourri dans les combles de toit.

Avant l’installation de la toiture, il s’assurera que des pare-vapeurs ou des couches de matières isolantes soient correctement placés afin de contribuer un confort thermique à la norme. L’ajout des bardeaux, de l'asphalte, du métal ou d'autres matériaux serait peut-être utile pour étancher le toit. Il saura aligner correctement le revêtement de couverture sur les bords du toit et cela inclut le coupage de matériaux de toiture pour les adapter aux murs ou aux évents. Ne vous inquiétez pas pour votre sécurité, car à la fin du travail il nettoie le chantier en utilisant un aimant pour enlever les clous ou de vis atterries sur le sol.

Respecter la conformité

Cette étape dépendra de la configuration de votre maison et de la région où vous résidez. Souvent, les départements français riches en culture et histoire sont exigeants sur le choix de type de toiture et de matériaux utilisés, d’où l’incontournable toiture pentue en tuile. Actuellement, trois types de toitures sont à la côte : le toit à faible pente ou en toit-terrasse, à pente raide et durable. Le choix vous appartient, cependant, le dégrée de la pente doit être décidée par l’artisan couvreur.
Un toit correctement installé empêche l'eau de s'infiltrer dans la maison et d'endommager l'intérieur, les équipements ou le mobilier. De plus, le dégrée de la pente du toit contribue à la santé de la couverture. Pas assez pentue ou un excès de dégrée d’inclinaison par rapport à la pluviométrie de la région compromet l’étanchéité et la durabilité de votre toit.

La conception du toit parfait

Une toiture à faible pente s'élève à moins de 3 pouces par pied horizontal et est installée en plusieurs couches. Ce type de toiture est privilégié pour couvrir des bâtiments commerciaux, industriels et résidentiels typiquement contemporains. Certaines maisons individuelles résidées en ville sont de plus en plus nombreuses à l’adopter. Considéré comme vulnérable, désormais, nombreux toits à faible pente sont recouverts d'une membrane monocouche en caoutchouc imperméable ou d'un composé thermoplastique. Toutefois, plusieurs couches de feutre collées avec du bitume chaud (une substance ressemblant au goudron) sont les plus utilisés pour étancher la toiture.

Les toits à forte pente, quant à eux, sont le plus considérés dans les régions à forte pluviométrie. La plupart des maisons unifamiliales utilisent ce type de toiture. Bien que les tuiles en terre cuite soient les plus couramment utilisées, certains couvreurs installent également des shingles, des bardeaux solaires, des bardeaux en fibre de verre, des bardeaux métalliques ou des bardeaux de fente (bardeaux de bois brut).
Un nombre restreint mais croissant de bâtiments est couvert par des toits végétaux qui incorporent des matériaux paysagers dans les systèmes de toiture traditionnels. L’artisan couvreur comme celui dans le 59 s’assure donc de son imperméabilité afin de la recouvrir d'une barrière anti-racinaire et, enfin, de couches de terre dans lesquelles la végétation est plantée.